[Quelques demandes de précision de ma part et voici les réponses de Maître André :]
Le bâillon que je te propose est le suivant: prend un foulard assez long ou bien un bas , blanc de préférence fais y un gros noeud au milieu, passe ce noeud dans ta bouche ouverte et resserre dans la nuque fais un essai pour voir si tu salives.
André
Le rapport (par Aurélie)
C'est hier soir (ou plutôt , tôt ce matin) que je me
suis lancée dans votre scénario. J'avais auparavant ajouté
quelques éléments à mon site, en particulier choisi
des photos à y mettre et tout cela m'avait tout excitée...
J'étais fin prête pour le ligotage !
Pour la bougie, j'ai opté pour quatre bougies d'anniversaire,
il me semblait que c'étaient celles qui allaient brûler le
plus vite, surtout si je les plaçais côte à côte,
toutes allumées. Je les ai collées avec de la cire au fond
d'une soucoupe et ai placé la soucoupe au milieu de ma salle de
bain, sur le carrelage, loin de toute matière inflammable. La clef
du maître-cadenas (le cadenas qui solidarise tout le ligotage), je
l'ai passée à un anneau de porte-clefs que j'ai passé
autour des quatre bougies accolées. J'ai allumé les quatre
bougies et je suis allée dans ma chambre sur mon lit pour me ligoter.
Pour le bâillon, j'ai opté pour un collant noir, mais
vous savez, pour faire un gros nœud sur un collant, il faut quasiment utiliser
tout le collant et il ne reste plus grand chose pour l'attacher, alors
voici comment j'ai procédé : j'ai retiré ma culotte;
après plusieurs heures d'ambiance ligotage, elle était tout
imprégnée, vous pouvez imaginer; j'ai également été
chercher les socquettes que j'avais portées durant la journée;
j'ai tout roulé en boule, placé dans le collant et maintenu
en boule par quelques nœuds. Cette boule, je l'ai placée dans ma
bouche et j'ai attaché les jambes du collant derrière ma
nuque. C'était très sec dans ma bouche, mais je savais que
ça allait bientôt tout s'imbiber de salive. Le mélange
d'odeurs et de goûts qui s'en dégageaient m'excitaient encore
plus.
J'ai retiré mon T-shirt et j'étais maintenant complètement
nue. J'ai hésité un instant à mettre les talons-haut
comme vous me le demandiez... mais en fait, avec ce ligotage en hog-tie,
mes pieds ne me seraient d'aucun secours et je ne voyais pas d'utilité
directe à ces chaussures et j'aime tellement pouvoir gigoter les
orteils quand je suis ligotée... alors j'ai renoncé.
Une corde de 3 mètres autour des chevilles, bien serrée,
chevilles croisées. Comme j'allais devoir serrer les genoux, je
n'ai pas fait un brélage, seulement plusieurs tours morts serrés
par une nœud plat attaché sur le devant. En revanche, j'ai fait
trois brélage pour les points d'attaches suivants en n'utilisant
qu'une seule longue corde de 9 mètres : tout d'abord quelques tours
sous les genoux, un brélage pour serrer, quelque tours au-dessous
des genoux, un brélage, et le reste de la corde, je l'ai enroulé
au milieu de mes cuisses, également serré par un brélage.
Mes jambes étaient maintenant complètement solidarisées
l'une contre l'autre.
J'ai ensuite fixé avec un cadenas une chaîne
de un mètre autour de ma taille en la serrant suffisamment pour
gêner un peu ma respiration. J'ai placé à mes poignets
mes petits colliers pour chien et mis un petit cadenas dans le trou adjacent
à la boucle de ceinture. Au bracelet gauche, j'ai fixé par
un système de chaîne coulante, une chaînette d'environ
10 cm.
Ensuite, le ligotage de la poitrine: j'ai scrupuleusement suivi
vos indications, mais je craignais que mes seins ne soient pas assez gros
pour maintenir la corde en place; j'ai serré le plus que j'ai pu...
Avant-dernière étape, le hog-tie. J'ai fait un nœud
de chaise autour des mes chevilles et ai remonté la corde pour la
passer derrière celle passant derrière ma nuque. J'ai repassé
la corde dans la boucle du nœud de chaise et ai noué entre la corde
du cou et celle des chevilles un de ces nœuds coulissant qu'on utilise
pour tendre les ficelles de tente : un nœud à sens unique. J'ai
donc tiré sur la corde, je l'ai tendue au maximum et le hog-tie
était terminé. Un petit enroulement solénoidal pour
me débarrasser du restant de corde et j'en avais presque terminé.
Il ne me restait plus qu'à retirer me lunettes (pour pouvoir
me tortiller sans souci de les endommager) passer la chaînette dans
l'anneau du bracelet droit et de passer un cadenas à travers cette
extrémité, le milieu de la chaînette et un maillon
à l'arrière de ma "ceinture". Ce cadenas serait le maître-cadenas,
celui dont la clef était fixée aux bougies que je ne pouvais
apercevoir de ma position. Après une dernière réflexion
pour m'assurer que tout était au point, avec un frémissement
de plaisir, j'ai refermé le cadenas !
Comme j'avais pris soin de pousser (pas fermer) les portes de ma
chambre et de la salle de bain, je ne pouvais me rendre compte de si les
bougies brûlaient encore ou non. Qu'à cela ne tienne, j'avais
de quoi m'occuper en attendant ! Le bâillon était maintenant
complètement détrempé et sa saveur s'en trouvait comme
amplifiée. Un peu de salive filtrait aux commissures de mes lèvres,
là d'où le collant tout rétrécis par la tension
émergeait.
J'ai commencé par tester l'effet des liens. Pas de doute,
j'étais complètement immobilisée, les cordes serraient
mes jambes l'une contre l'autre sans appel et seuls mes orteils et mes
pieds pouvaient encore remuer un peu. Par contre, il y avait pas mal de
jeu dans le haut de mon corps et j'ai vite constaté que cela me
laissait une bonne liberté de mouvement : je pouvais aisément
me retourner sur le dos, sur le flanc, sur le ventre, tourner dans tous
les sens sur mon lit (je précise ici que mon lit n'a pas de cadre,
le sommier est posé à même le sol, ce qui en facilite
la descente quand on est toute ligotée).
Tous ces mouvements m'avaient mis en nage et avaient considérablement
augmenté mon excitation. En me tordant le cou, je pouvais voir mon
corps tout ceinturer de cordes qui traçaient de petits sillons dans
ma chair. Mes mamelons étaient tout durcis par l'excitation, d'autant
que la corde qui passait en dessous d'eux avait glissé durant mes
efforts et passait maintenant juste en dessous de l'un d'eux, l'agaçant
continuellement (je suis EXTREMEMENT sensible des mamelons... ? )
J'étais maintenant terriblement excitée et je pouvais
sentir à tout moment des vagues de frémissements de plaisir
me parcourir le corps; je frottais mes cuisses l'une contre l'autre pour
augmenter encore cette sensation. Je n'avais aucune idée depuis
combien de temps j'étais ainsi ligotée... peut-être
une demi-heure ? Très difficile à dire, le temps passe toujours
très vite quand je suis ligotée... Avec le temps du ligotage,
il était probable que les bougies devaient être éteintes
et je tenais à parvenir à l'orgasme quand j'aurais les clefs
en mains, c'est trop pénible de rester ligotée après.
J'ai alors commencé la reptation vers les clefs. En me mettant
sur le flanc, je pouvais progresser assez rapidement, mais à chaque
traction sur les cordes, mon excitation montait d'un cran. La porte de
ma chambre m'a posé quelques problèmes puisqu'elle s'ouvrait
en dedans, mais en utilisant mon nez, j'y suis parvenue (je savais que
c'était possible, l'ayant déjà testé à
maintes reprises jusqu'ici). Un mètre de carrelage dans mon corridor
et je me suis retrouvée devant la porte de la salle de bain qu'un
coup de front ouvrit.
Malédiction ! les bougies n'étaient qu'à moitié
consumées ! Quelle impatiente !
Il fallait que j'aie ces clefs car au point où j'en étais,
je haletais déjà très rapidement et je luttais à
chaque instant pour ne pas jouir. A ce stade d'excitation, la douleur n'est
de toute façon plus une sensation désagréable, au
contraire... J'ai donc rampé le mètre qui me séparait
des bougies, je me suis positionnée à côté d'elle
et, en tirant sur les chaînes de mes bracelets, j'ai pu saisir du
bout des doigts la clef. Je pouvais sentir la chaleur des flammes contre
mes mains, mais rien de douloureux. Finalement, j'ai réussi facilement
à récupérer la clef sans me brûler et sans éteindre
les bougies.
C'est à cet instant que je me laissai aller complètement
et que je laissai la jouissance monter en moi sans la juguler. Quelle sensation
! Rien de tel qu'une longue séance de ligotage pour décupler
les effets ! J'ai roulé (du côté opposé à
la bougie) sur le flanc, j'ai tiré sur les cordes de toutes mes
forces, les sentant s'imprimer dans mes chairs, résister à
ma volonté de tendre bras et jambes Quelle sensation, c'est indescriptible
!
Je suis retombée toute molle sur le froid carrelage de ma
salle de bain, encore secouée par des vagues de plaisir... Et finalement,
je me suis libérée. Il devait être vers les 4 heures
du matin... Epuisée, j'ai rangé mon matériel et je
suis tombée dans mon raide morte... Le rapport serait pour le lendemain...
Aurélie