Un scénario de Robertson
Commandé: le 22 juin 2000
Executé: le 5 juillet 2000
Voici ce dont vous devriez avoir besoin :
Le ligotage en lui même :
Dans un premier temps mettez vous à genou talons contre
les fesses. attachez chacune de vos chevilles à vos cuisses
(chevilles non liées entre elles)
mettez vous sur le dos et écartez vos cuisses de façon
à ce qu'elles soient à plat sur le sol(cuisses complétement
écartées sexe offert)
Prenez le manche à balai et attachez vos chevilles
et vos genoux au manche à balai ainsi il vous est impossible
de refermer vos cuisses (le manche est perpendiculaire à
l'axe de votre corps)
Mettez vous maintenant à plat ventre. Attachez ce qui
immobilisera vos mains au manche à balai (menottes, chaines
ce qui vous sert habituellement) de fcon à vous retrouver
mains immobilisées dans le dos) Arrangez vous pour que vous soyez
cambrée dans le dos.
attachez à votre cou (pas de noeud coulant !!!) l'extrémité
libre de la corde à laquelle est attachée votre clef.
Ainsi pour la récupérer vous devrez patiemment
utiliser votre bouche et surtout vos lévres pour tirer à
vous la corde à laquelle la clef est attachée)
Placez des pinces à linge sur vos mamelons.
Le summum mais peut être cela ne vous plaiera peut être
pas serait d'insérer dans votre sexe et votre vagin deux bougies
(non allumées bien sùr)
menottez vos mains et amusez vous bien !!!!
Si vous voulez une position un peu plus incomfortable surrélevez
le manche à balai de quelques centimétres en posant
les extrémités sur des supports ou en utilisant
un crochet dans le plafond si cela est possible.
Voilà au plaisir de vous lire ultérieurement
Le rapport (par Aurélie)
J'ai dû apporter plusieurs modifications à ce scénario
mais j'ai essayé de rester fidèle à son esprit. Tout
d'abord, je me suis rendue compte que la position exigée avec le
manche à balais et les jambes écartées à plat
était trop difficile pour moi : je ne suis pas aussi souple ! J'ai
donc utilisé une autre méthode qui ne devrait néanmoins
pas être trop différente : J'ai commencé par m'attacher
les chevilles aux cuisses, séparément, comme indiqué
dans votre scénario; ensuite, j'ai placé mes pieds "face
à face" (plante contre plante) et les ai ligoté dans cette
position en enroulant plusieurs tours de cordes autour d'eaux en passant
également derrière les talons et autour de ces tours morts
pour resserrer la velture. Ce ligotage me maintenait ainsi les jambes
largement écartées et les genoux fléchis.
L'autre modification que j'ai apportée m'est venue à
l'esprit pendant que j'attendais la chute du poids dans le scénario
"Sudden fall". Comme j'avais enfoncé dans mes narines des petites
boulettes imprégnées de poivre de Cayenne, je me suis dit
que ce serait amusant d'être forcée à en avaler...
C'était le petit plus qui rendait plus attrayant le monotone machouillage
de ficelle de votre scénario (sauf votre respect).
J'ai donc disposé deux bols à un mètre de l'endroit
où je comptais m'attacher; au fond de ces bols se trouvait, dans
l'un du poivre de Cayenne (en poudre) et dans l'autre du sel. Après
avoir mouillé la ficelle (une ficelle de trois à quatre mètres
de longueur) je l'enroulais dans les bols, tantôt à droite
et tantôt à gauche, veillant au passage à bien l'enduire
du condiment en rapport. Le bol de poivre de Cayenne ressemblait maintenant
fort à un plat de spagetti à la sauce tomate...
Ceci prêt, je m'assis sur mon lit et attachai les jambes de
la façon décrite ci-dessus. J'y ajoutai une corde passant
autour de la velture des mes pieds et reliée au côté
de mon lit; cette corde servirait à m'empêcher de m'approcher
des bols pour récupérer la clef avant l'heure. Je m'étendis
alors à plat-ventre en travers de mon lit, la poitrine dépassant
juste du matelas et mon menton appuyant sur le sol à une cinquantaine
de centimètres des bols.
J'avais au préalable attaché un bandeau sur mes yeux.
Il ne me restait plus qu'à cadenasser mes poignets dans mon dos,
cadenas dont la clef était attachée au bout de quatre mètres
de ficelle enduite de poivre et de sel !
La position n'était guère confortable mais je ne pouvais
faire grand'chose pour l'améliorer... sinon tirer sur la ficelle
du plus vite que je pouvais. J'eus bientôt la joue gauche toute
gonflée de ficelle et je pouvais sentir le poivre me piquer la langue.
Mais ce n'était que peu de chose encore. Au bout d'un moment, j'éprouvai
le besoin de reposer ma nuque fatiguée par la position tordue en
arrière qu'elle devait prendre. Je posai donc ma tête sur
le côté. Ce faisant, la boule de ficelle placée dans
ma joue fut écrasée contre me dents et la salive dont elle
était imbibée fut chassée dans ma bouche; automatiquement
j'avalais... et sentis aussitôt une vague de feu me descendre dans
la gorge ! Frénétiquement je me remis à avaler la
ficelle pour hâter le moment de ma délivrance. Avec mes yeux
bandés, il m'était impossible d'estimer la tâche restant
à accomplir, mais déjà ma bouche en feu me faisait
souffrir le martyr.
Bientôt, je sentis la ficelle changer de direction : après
le poivre, j'allais maintenant subir les outrages du sel ! Etrangement
toutefois, je ne sentis que faiblement le sel; sans doute ma langue et
mon palais étaient-ils complètement saturés par le
poivre ? En préparant les bols, j'avais imaginé que le sel
serait plus pénible que le poivre et j'avais donc surtout utilisé
ce dernier; un cinquième seulement de la ficelle trempait dans le
sel, de sorte que rapidement j'en revint à mon premier tourment.
La torture devenait plus pénible à mesure que la pelote
se faisait plus grande dans ma joue. A chaque fois que je me reposais sur
le côté, un flot de salive irritante inondait ma bouche et
j'étais forcée soit de la laisser couler sur mon menton,
soit de l'avaler. En plus, la ficelle partiellement sèche qui entrait
dans ma bouche projetait de petites particules de poivres qui irritait
ma gorge quels que soient mes efforts pour ne pas avaler instinctivement
ma salive. Tirer sur la ficelle se faisait en outre de plus en plus difficile
car ma langue et mes lèvres n'avaient plus beaucoup d'espace pour
travailler.
Pour m'encourager, je me caressais et me triturais les seins avec
les doigts (car je pouvais me tordre suffisamment les bras pour ce faire).
Il me vint alors à l'idée que je pouvais très
bien cracher la pelote de ficelle et recommencer à tirer avec la
bouche vide ! Non seulement cela me débarrasserait la bouche d'une
bonne quantité de poivre, mais en plus je pourrais à nouveau
travailler plus vite. Il fallait néanmoins veiller à ce que
je puisse retrouver le fil aisément et ne pas m'embrouiller dans
le nœud gordien que j'allais rejeter. Pour ce faire, il me faudrait rejeter
la pelote suffisamment sur le côté et en arrière pour
être sure de n'avoir sous mes lèvres que la ficelle libre.
Aussitôt pensé, aussitôt fait ! Je me débarrassai
avec plaisir de l'encombrant paquet et repris sans trop d'encombre ma pénible
aspiration. Mes lèvres commençaient aussi à me faire
souffrir car l'éjection de la pelote les avait copieusement enduites
de sauce au poivre... Je me caressai les mamelons de plus belle...
Et c'est alors que je trouvais la faille ! Comme la pelote se trouvait
un peu en retrait par rapport à ma bouche, il m'était possible
de la saisir avec les doigts... J'hésitai un moment... mais ma bouche
en feu me convainquit très vite que je devais saisir cette chance
de m'en sortir au plus vite.
Effectivement, mes doigts se montrèrent bien plus rapides
à la tâche et la clef se trouva entre mes mains en un rien
de temps. La seule difficulté qui restait était de la faire
entrer dans la serrure avec des doigts humides et enduits de poivre...
Aurélie